Accueil/Actualités/Page 9 de 33
De Maubec à Cavaillon, du XVIe siècle jusqu'à l'ère contemporaine, l'histoire d'une famille notable du Comtat Venaissin à partir d'un formidable fond inexploré d'archives familiales.
Le Silence de la Cathédrale (Arcades Ambo éditeurs) de Stéphan Huynh Tan" est une réflexion buissonnière et intellectuellement revigorante sur Notre-Dame de Paris depuis l’établissement du christianisme en Gaule jusqu’à la catastrophe de 2019".
Une phrase : « Notre-Dame qui part en fumée, quel avertissement ! La Providence fait bien les choses, c’est un athée qui vous le certifie. La cathédrale brûle, la grammaire sombre, le pays s’enfonce ».
C'est un succès très mérité que connaît POUR ALIENOR de notre ami Michel Marmin.
L'ouvrage sera de nouveau disponible mardi 15 novembre.
Nous remercions chaleureusement son auteur de nous avoir confié ces poésies aussi brèves qu'étonnantes.
"Plaisir insoupçonné à la lecture du beau livre de Gilles Antonowicz. L’auteur excelle à raconter l’histoire d’une famille à travers celle de l’Europe à moins que ce ne soit l’inverse. Il fait litière de quantités d’idées reçues et donne une belle profondeur de champ à l’idée européenne. Il montre aussi très bien qu’on ne s’émancipe pas si facilement d’un passé si éclaté sur un continent qui s’est voulu monde mais qui ne sait toujours pas où mettre la Russie et la Turquie. En revanche on en retient que l’histoire de France sans les Antonowicz serait tristement incomplète comme un puzzle amputé de pièces essentielles..."
Ce recueil inédit de Pascal de Blignières, mort prématurément en 1996, touchera spécialement tous ceux qu'enchantent les signes - réels ou rêvés - qui se dessinent dans le tissu des coïncidences que déroule la vie.
"Marmin s’inscrit sans complexe dans l’histoire où il excelle à débusquer le contemporain. Ce sont des poésies qui ne se prennent pas pour le poème et se rient du monde autant qu’elles le savourent. Elles louent autant qu’elles censurent, déclarent l’amour au monde sans nier ce qui le dépasse, traquent le spirituel dans le prosaïque sans jamais prendre la pose. La richesse des mots se garde de préciosité car le seul souci est celui du mot juste sans affèterie. Il y a un côté aphoristique dans ces vignettes qui se lisent comme un journal intime d’amours passés et éternels..."