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Yves Lepesqueur, écrivain et critique littéraire, publie L’islam et l’ordre du monde aux éditions Arcades Ambo. Lourd de 740 pages, avec un appareil de notes conséquent, Yves Lepesqueur réussit un double tour de force : il produit à la fois un livre-somme qui couvre tout ensemble les aspects les plus intellectuels et les plus concrets du monde musulman mais parvient également à délivrer un propos original, à contre-courant des productions actuelles, et surtout pénétrant qui introduit à l’esprit profond de la civilisation musulmane à travers le prisme de la vision islamique du monde.
https://philitt.fr/2024/09/12/lislam-et-lordre-du-monde-comprendre-le-monde-musulman-par-lesprit-de-lislam/
A paraître le 1er octobre et déjà en vente sur notre site !
Visitez la page : https://www.arcadesambo.com/titres/les-balancoires-par-dessus-les-branches
Nous sommes heureux de lancer la souscription (32 euros, port compris) de l'Histoire civile et militaire de la famille Biju-Duval (depuis le XVIIIe siècle jusqu'à nos jours), un volume de plus de 180 pages largement illustré et accompagné d'un livre numérique rassemblant tous les tableaux généalogiques destinés à éclairer le texte.
L'ouvrage paraîtra le 15 novembre.
Nous sommes heureux de vous annoncer que nous publierons pour la Noël prochaine (mais lancement de la souscription le 15 novembre) le troisième et dernier tome de notre Dictionnaire raisonné des devises de M. Orcel et A. Pérès, entreprise commencée en 2016 !...
Un grand merci à Philippe Barthelet !
"Dans son dernier livre, L’islam et l’ordre du monde (ARCADES AMBO, 2024), ô combien plus riche et plus passionnant encore que son précédent, Yves Lepesqueur nous montre bien pourquoi l’islam, en tant que civilisation, n’est pas moins moribond que l’Occident gréco-romain et judéo-chrétien. Je ne vois pas d’autre auteur, en ce moment, qui nous invite à ce point, et de façon aussi convaincante, à reprendre le contrôle de nos systèmes nerveux et à nous affranchir de cette guéguerre idéologique où, à défaut de pouvoir agir, nos contemporains se consument — apparemment sans voir qu’ils ne font par là même qu’accélérer leur perte et qu’ils se rendent chaque jour un peu moins dignes de l’héritage qu'ils prétendent incarner".